Le DARABUKKA, très populaire dans le monde arabe, a une peau collée sur un corps en forme de calice à base ouverte. Dans ce modèle égyptien la peau est fixée à la caisse à l'aide de clous et de colle. Le tambour se tient sous le bras ou contre les jambes, tandis que la peau est frappée avec les doigts.
| Famille |
| Percussions |
| Tessiture |
| aucune. |
| Matériau |
| Poterie, bois ou métal, recouvert d’une peau d’animal. |
| Dimensions |
| Variables. |
| Origines |
| Les tambours à boire comme la darabukka étaient utilisés dans les temples de Babylone et de Sumer (l’actuel Irak) dès l’an 1100 avant J-C. On rencontre désormais cet instrument dans tout le monde arabe, au Moyen-Orient comme en Afrique du Nord. |
| Classification |
| Membranophone : le son est produit par la vibration d'une peau tendue ou d'une plaque en bois. |
| Et aussi... |
| La darabukka a été utilisée dans la musique classique européenne par certains grands compositeurs tels le français Jacques Ibert (1890-1962) ou l’allemand Carl Orff (1895-1982). |
